« Les rêves , les désirs et les espoirs sont les étoiles de nos vies. » Michel Bouthot - Selon la légende des Indiens d’Amérique : « Pour que votre rêve se réalise, murmurez-le à un papillon. Sur ses ailes, il montera au ciel et se réalisera car les papillons sont les messagers du Grand Esprit. » - « Il n y a qu´une chose qui puisse rendre un rêve impossible : la peur d échouer. » Paolo Coelho

jeudi 31 mars 2011

Masaru Emoto "Cérémonie de l´eau"




Bonjour........


J´arrive un peu tard pour participer à la "Cérémonie de l´eau" proposée par Masaru Emoto, en ce 31 mars à 12h00. J´en suis vraiment désolée mais je découvre seulement à l´instant le mail que Séverine m´a envoyé hier soir.

Mais il n´est jamais trop tard pour bien faire!... 

Alors je vous invite malgré tout à passer sur l´article très intéressant qu´elle a déposé sur son blog à ce propos en cliquant sur ce lien Masaru Emoto

MERCI.... 


 
Bien à vous

Baiser papillon





  
 
laurence


jeudi 24 mars 2011

Anorexie - " La fée " - troublante chanson de Nicolas Fraissinet

Les pages de mon blog étant assez lourdes, afin de regarder les vidéos en temps réel,
je vous conseille de cliquez sur Youtube. MERCI
 


La fée

Je ne mange pas
C’est au delà du corps
Que je refuse tout ça
Je vomis même la mort
Mes parents n’ont rien à faire dans cette vie qu’ils m’ont donnée
Mais je voudrais qu’ils s’y intéressent ou qu’ils la reprennent à jamais
Je ne mange pas
Je perds toutes mes forces

Mais je ne lâcherai pas

De mon corps je divorce
Mes parents m’ont protégée de tout ce qui pouvait me brûler
Si bien qu’aujourd’hui je suis celle qui souffle sur les braises sous mes pieds
Je ne mange pas
Je suis bien trop tenace

Mais je ne sais pas

Quelle est vraiment ma place
Je me venge en silence de ma vie que je crois ratée
Je vous emmène dans ma danse, je n’veux pas être seule à couler
Je ne mange pas
Regardez moi je meurs

Car quand je ne mange pas

Tout le monde a peur
Je voulais tellement être aimée, pardon c’est tout c’que j’ai trouvé
J’étais si belle si vous saviez mais aujourd’hui je suis une fée
 
Je ne mange pas
Traitez moi de connasse

Mais je ne sais pas

Comment demander grâce
Ceux qui m’ont vu souffrir finiront par me mépriser
Mon beau malheur vous fera fuir si je décide d’y rester
Je ne mange pas
Ça me fout la nausée

De vous voir la

Je meurs si vous partez
C’est vrai que le bonheur m’aurait aidée à exister
Mais j’ai choisi la douleur, j’ai cru bien faire, j’me suis plantée
Je ne mange pas
J’amaigris vos sourires

Je ne mange pas

Je vous aime, c’est ça le pire
Je défie les blessures que je n’ai pas su digérer
Ma vie a le goût de la mort, c’est pas facile à avaler


Nicolas Fraissinet



Je vous invite à lire le poème d´Angiee en cliquant sur ce lien

 Merci 

dimanche 20 mars 2011

Enfin le printemps...


 

 

 Bonjour chers visiteurs

Ceci est mon tout premier montage réalisé avec des photos prises hier matin au jardin et dans l´après-midi lors d´une promenade avec mes adorables deux petites puces.

Et oui!... Enfin le printemps... C´est pas trop tôt!... (*sourire*)
Dans mon grand Nord, j´attendais son arrivée avec impatience.
Et voilà qu´hier il  m´a fait cadeau de ses splendides couleurs!...

Baiser papillon
  
laurence

jeudi 17 mars 2011

Saint Patrick













Tradition celtique en l’honneur du printemps

 
 
La Saint Patrick a pour racine une fête celtique dédiée au printemps, incarné par le vert, symbolisant l’espoir et le renouveau et qui représente la couleur de l’Irlande : la Verte Erin.


A l’occasion de cette fête, les très nombreux pubs et autres lieux propices à la fête proposent des soirées particulièrement animées : des concerts, des soirées celtiques, des animations... tout est mis en œuvre pour rendre hommage au missionnaire qui convertit l’Irlande au christianisme.
 
 












Revêtez du vert et allez vous amuser ! 




Un peu d’histoire


 

Saint Patrick serait né en 390 au nord des îles britanniques. Il est dit être le fils du décurion Celpurnius. Il fit son apprentissage forcé chez les Gaëls, sa formation ecclésiastique en France puis sa mission évangélisatrice en Irlande.
Padraig -en gaëlique- est enlevé par des pirates qui le soumettent comme esclave durant 6 années au Pays de Galles. Parvenant à s’échapper, il débarque sur les côtes anglaises après trois jours de mer, puis sur les côtes françaises. Des îles de Lérins, au monastère de Saint-Honorat où il se consacre à des études théologiques pendant deux années, ensuite auprès de saint Germain d’Auxerre, il devint diacre puis évêque. En 432, il retourne en Irlande qu’il commence à évangéliser. Avec finesse et conviction, il sait distiller* la foi chrétienne dans les croyances gaëliques et païennes des tribus celtes. La nouvelle religion est adoptée semble t’il par les druides, représentants la classe sacerdotale Celte. * On doit bien aux moines Irlandais l’invention du whiskey ! Saint Patrick sillonne toute l’Irlande prêchant, enseignant, construisant des églises, des monastères et des écoles. Après de longues années d’évangélisation, il se retire à Downpatrick où il meurt le 17 mars 461.
Réputé pour son courage héroïque, son humilité et sa bonté, l’Irlande lui doit l‘emblème du trèfle qu’il aurait utilisé pour expliquer la Sainte Trinité. La légende prétend aussi qu’il aurait chassé tous les serpents de l’île, symbole de la conversion du peuple irlandais : les serpents représentant Satan, rendu responsable de l’ignorance du Dieu véritable. L’Irlande est devenue chrétienne sans un seul martyr, et les monastères y sont très nombreux. Saint Patrick serait enterré à Downpatrick berceau du christianisme irlandais, situé... en Ulster, Irlande du Nord. Une terre où son héritage est revendiqué par les Irlandais de toutes les confession.




Voeux de Saint Patrick

" Puissiez-vous avoir
Une maison contre le vent
Un toit contre la pluie
L'amour d'une famille unie

Puissiez-vous toujours être entourés
De gens joyeux et d'éclats de rire
De tous ceux que vous aimez
Puissiez-vous avoir tout ce que votre coeur désire "


"Qu'un peu de paradis tombe du ciel
et fasse qu'aujourd'hui soit un jour spécial
pour vous et ceux que vous aimez aussi".

 

(J´ai trouvé toutes ces infos en surfant sur le net)



Mon très cher coquelicot



Bonne fête chère Aoife


Bonne fête à Anna et Catherine
mes adorables petites puces du mardi et jeudi 


Baiser Papillon
lolo

lundi 14 mars 2011

Alzheimer...


 
 


Parce que je suis passée chez Marie hier et que j´ai été troublée à la lecture...

MERCI de cliquer sur ce lien:


dimanche 13 mars 2011

LUMIÈRE



 Quatre ans aujourd´hui que tu habites le paradis des gens gentils


LUMIERE


Quand dans la tempête de la mer je me perds

C´est toujours vers toi que je me tourne mon père

Que je raconte mes souffrances, mes misères

Toi, grande âme prophète au pays des mystères

Tu n´as jamais peur de mes coups de tonnerre

Toi, gardien de mes nuits, lorsqu´elles ne sont pas claires

Tu écoutes et apaises mes silences, mes ténèbres

Tu me montres le chemin qui mène à la source de la rivière

Avec sagesse, tu guides mes pas afin que je sorte de l´enfer

Tu me débarrasses de mes cendres, de mes poussières

De mon coeur tu me fais ouvrir toute grande la fenêtre

Avec toi j´apprends par coeur les plus belles prières

De toi et ma mère, sur cette terre ma vie entière je serai fière

En ce matin soleil, brille mon galet dans la Paix* de tes vers

Grâce à toi, je reviens, Pure, Belle et légère dans la lumière


" Mon papa à moi " MERCI
Papa, je t´aime



samedi 12 mars 2011

L´arbre tordu


L´arbre tordu



Un oiseau survolait une forêt de conifères quand il laissa tomber une petite graine que le vent avait déposée furtivement sous son aile.


A peine la semence eut-elle touché le sol qu'elle prit racine. Très rapidement une petite pousse vit le jour et se fraya courageusement un chemin à travers les géants tout verts qui l'entouraient.

La richesse du terreau qui l'avait accueillie permit à la tige de devenir en très peu de temps un arbrisseau rempli de vigueur. Mais en même temps qu'il croissait, il empruntait une forme des plus étranges. C'est à ce moment qu'il prit conscience qu'il n'allait pas être un arbre comme les autres. Les sapins verdoyants qui l'entouraient et dont il admirait la frondaison aux teintes d'émeraude, l'avaient cependant accepté dans sa différence. A son grand désarroi, le jeune arbre voyait son tronc et ses branches pousser dans le désordre le plus total. 

 
 
En prenant des allures d'adulte, l'arbrisseau se retrouva affublé d'énormes branches racornies qui se frayaient maladroitement un chemin à travers les aiguilles de ses frères conifères. Il aurait tellement voulu leur ressembler ! Il avait sûrement fait quelque chose de mal pour que Dieu l'afflige de ces formes repoussantes.
- Mais pourquoi suis-je si différent ? se demandait-il sans cesse.
Cette question le hantait depuis qu'il avait constaté sa terrible dissemblance. C'est également à ce moment qu'il commença à se haïr. Sa haine prit une telle ampleur que son écorce en devint toute terne et que sa cime courba l'échine, comme si elle n'avait pas voulu qu'on la reconnaisse.

 Plus les jours passaient, plus l'arbre tordu se détestait. Tant et si bien que les oiseaux ne daignaient même plus s'y poser, repoussés par la négativité qui s'en dégageait.
- Aussi bien mourir, se disait l'arbrisseau, que de sentir un parfait étranger dans la forêt qui vous a vu naître. Le pauvre diable cultiva donc ses pensées défaitistes et s'enlisa profondément dans son rôle de victime. Jusqu'au jour où une mère et son fils le découvrirent par hasard...

- Et ! Maman ! cria l'enfant en sautillant de joie. Tu as vu le joli pommier en plein milieu de cette forêt de sapins ? Comme il est beau, n'est-ce pas ?
- Oui! Oui! répondit distraitement la mère, apparemment absorbée dans ses pensées. Mais nous ne pouvons pas nous attarder. Continuons notre route.
En dépit de sa lassitude et de son impérieux désir de mourir, l'arbre tordu avait entendu le commentaire du bambin. Il était complètement abasourdi d'apprendre qu'il n'était pas un sapin déformé, mais plutôt un... pommier!

Il sortit alors de la léthargie morbide dans laquelle il s'était laissé sombrer depuis quelques temps. A la grande surprise de ses frères, qui ne l'avaient pas vu manifester un quelconque sentiment de joie depuis très longtemps, il s'exclama :
- Est-ce possible que je sois un magnifique pommier? Si cela est vrai - il en doutait de moins en moins, car il savait d'instinct que les enfants enjoués ne mentent pas - cela expliquerait mes disparités!


Ragaillardi par cette heureuse découverte, l'arbre se mit à apprécier de plus en plus la forme insolite de ses branches et à admirer son tronc légèrement arqué. Il releva lentement la tête, et son écorce assombrie par la peine reçut alors un grand coup de sève qui la fit resplendir de mille feux.






Attirés par ces élans d'amour de soi,les oiseaux recommencèrent à fréquenter l'arbre.



De curieuses petites fleurs se mirent bientôt à émerger sur ses branches. Plus l'arbre s'aimait, plus les bourgeons qu'on avait cru asséchés prenaient vie, et plus ils s'ouvraient en grand nombre. Tant et si bien que le pommier fut rapidement enveloppé d'un nuage féerique de fleurs blanches. Celles-ci exhalaient un parfum frais qui faisait le bonheur de leur entourage. Cette particularité avait pour conséquence que l'arbre tordu se distinguait encore davantage de ses congénères, les sapins.

Au bout de quelques lunes, chaque fleur avait donné naissance à un fruit magnifique, symbole de l'amour que l'arbre s'était donné à la suite de sa prise de conscience de son unicité.


Un matin d'automne, le garçon qui lui avait révélé sa vraie nature revint le voir. Le pommier le reconnut et lui offrit le premier des fruits en guise de remerciement pour lui avoir redonné la vie. L'enfant sourit et, avec ses petits yeux en amande bien fermés pour tirer toute la saveur du fruit, il croqua dans la pomme à belles dents.

Comme le Créateur n'oublie jamais Ses bienfaiteurs, il transmit à l'enfant, à travers l'énergie de ce fruit, le même présent qu'il avait jadis offert à l'arbre : l'amour de soi et le respect des différences. Le garçon bénéficia de ce don toute sa vie et même après avoir atteint l'âge adulte, il continuait à en parler...

André Harvey


Contes d'éveil, Éditions de Mortagne

mardi 1 mars 2011

Des pensées pour l´abondance











Je vous laisse ce soir aves ces quelques pensées, sans oublier de vous remercier pour vos si nombreuses et agréables visites, et vous donnant rendez-vous la semaine prochaine...

Et oui, demain je prends le chemin du pays de mes racines pour quelques jours et cela pour une merveilleuse occasion... Heureusement que j´étais assise lorsque j´ai appris la nouvelle (*sourire*)! Un couple d´amis, après 30 ans de vie commune et deux grands enfants ont enfin décidé de passer devant le maire et je ne veux à aucun prix rater ce bel évènement!



Bien à vous

Prenez bien soin de vous de ceux que vous aimez

Baiser papillon


laurence