« Les rêves , les désirs et les espoirs sont les étoiles de nos vies. » Michel Bouthot - Selon la légende des Indiens d’Amérique : « Pour que votre rêve se réalise, murmurez-le à un papillon. Sur ses ailes, il montera au ciel et se réalisera car les papillons sont les messagers du Grand Esprit. » - « Il n y a qu´une chose qui puisse rendre un rêve impossible : la peur d échouer. » Paolo Coelho

mardi 29 novembre 2011

"Flou de novembre"


Flou de novembre
À la porte de l´hiver
Vous m´êtes cadeau

En doux souvenir de vous
 Perles d´eau inachevées

L´Eau*

lundi 28 novembre 2011

"Jolie Noémie" Vincent Caplan


Paroles de Vincent CAPLAN - Musique et Arrangements de Michel GULLO
Texte et musique déclarés à la SACEM

 ***

C´est sur un forum de poésie que j´ai rencontré Vincent, auteur, compositeur et interprète. 
A certaines heures sa voix vibre, à d´autres moments il laisse chanter sa plume de poète sensible.

***



(Ecrit le 09/12/2005 à 23H04)
   
Jolie Noémie

Poussée par le vent, elle s'en est allée
Rejoindre les anges, leurs ailes dorées
Et sur cette étoile, qu'elle a tant cherchée
Son cœur s'est posé pour l'éternité...
Elle s'est envolée le corps libéré
Elle a essuyé nos yeux qui pleuraient
« Regarde Maman, je suis délivrée
Je m'en vais fleurir tous mes souvenirs.»

Noémie, Noémie...

Elle s'en est allée pour se reposer
Dans ce beau pays où le mal s'oublie
« J'ai trouvé la paix, je m'en vais chercher
L'étoile dorée pour ne plus la quitter... »
Et dans nos pensées, son cœur est resté
Elle ira cueillir dans ce paradis
Le souffle d'amour, tout autour de nous
Jolie Noémie, rejoins l'autre rive...

Noémie, Noémie...

Elle s'est envolée pour la liberté
Dans le ciel bleuté, tout s'est dévoilé
Un dernier baiser, elle s'est élancée
Jolie Noémie, va vivre ta vie...
Poussée par le vent, elle s'en est allée
Rejoindre les anges, leurs ailes dorées
Et sur cette étoile, qu'elle a tant cherchée
Son cœur s'est posé pour l'éternité...
Noémie, Noémie, va vivre ta vie, va vivre ta vie...
Noémie, Noémie, va vivre ta vie, va vivre ta vie...

Noémie, Noémie...


Vincent Caplan


jeudi 24 novembre 2011

"J´étais fragile" Julos Beaucarne

 

J'étais fragile comme du papier

J’étais fragile comme du papier
J’étais facile à déchirer
Le moindre petit vent contraire
M’envoyait de suite en enfer
J’étais fragile comme le cristal
Des jours très bien, des jours très mal
À la merci de l’air du temps
Un mot me griffait jusqu’au sang

J’étais l’argile du potier
Je me laissais toujours modeler
Un jour j’ai voulu être moi
Plutôt qu’une autre sous tes doigts
J’ai voulu savoir qui j’étais
Étais-je l’algue ou la forêt
Étais-je la soie ou la laine
Le granit ou la porcelaine

Aujourd’hui je vais vers moi-même
Même s’il en coûte à ceux qui m’aiment
Trop habitués à me voir
Docilement suivre leurs couloirs
Aujourd’hui je me suis de près
Je ne me quitte plus jamais
Je ne m’éloigne plus de moi
J’allais de guingois, je vais droit

Je suis subtile, je rebondis
Je suis heureuse et puis je ris
Il n’y a plus de vents contraires
Je nage au milieu de la mer
Je suis légère comme une plume
Je sors enfin de la brume
Je suis bien dans ma propre peau
Je navigue au fil de mon eau

mardi 22 novembre 2011

"Les feuilles mortes" Yves Montand (1945 - Paroles Jacques Prévert - Musique Joseph Kosma)


Cette interprétation est un chef-d'oeuvre !
Pour moi, c´est un infini INSTANT de GRÂCE !
C´est tout simplement SUBLIME et pure ÉMOTION !...
CHUT.... Écoutez............. 



Les feuilles mortes

Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
 Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois je n'ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi

Et le vent du nord les emportent
Dans la nuit froide de l'oubli
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais

C'est une chanson, qui nous ressemble
Toi tu m'aimais, et je t'aimais
Et nous vivions tout les deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais

Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
 
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
 
***

Histoire de la chanson
 
Yves Montand

dimanche 20 novembre 2011

"Impressions d´automne" - 20 novembre 2011


Impressions d´automne
En ce matin, frémissantes
Vous perlez d´émoi.

Amour de Dame nature
 Histoire d´O, vous et moi !

L´Eau*, Perle d´Eau ! 
À fleur de ciel et de peau, perle d´Eau*

vendredi 18 novembre 2011

"De la montagne" Tomas Tranströmer (Prix nobel de littérature 2011)

Ce soir, j´ai envie de partager avec vous cette découverte.

Je trouve ce poème d´une émouvante et troublante profondeur......
C´est tellement BEAU que j´en ai des frissons !.... 

Je vous souhaite une agréable lecture

Bien à vous...

Baiser papillon


laurence



DE LA MONTAGNE

Je suis sur la montagne et contemple la baie.
Les bateaux reposent à la surface de l'été.
« Nous sommes des somnambules. Des lunes à la dérive. »
Voilà ce que les voiles blanches me disent.

« Nous errons dans une maison assoupie.
Nous poussons doucement les portes.
Nous nous appuyons à la liberté. »
Voilà ce que les voiles blanches me disent.

J'ai vu un jour les volontés du monde s'en aller.
Elles suivaient le même cours ― une seule flotte.
« Nous sommes dispersées maintenant. Compagnes de personne. »
Voilà ce que les voiles blanches me disent.

jeudi 17 novembre 2011

"L´absence" en citation, en compagnie de "L'Absente" de Yann Tiersen

 

 

« La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais mais aussi les autres, tous les autres qui recevront l'horreur et l'absence en partage. »

Marie-Claire Blais

 


« Un homme peut se résoudre à l'idée de perdre sa vie, mais pas à l'absence de ceux qu'il aime. »

Marc Levy

 


« L'amour supporte mieux l'absence ou la mort que le doute ou la trahison.  »

André Maurois

 


« L'absence est le plus grand des maux. »

Jean de La Fontaine

 

« Le début de l'absence est comme la fin de la vie. »

Félix Lope De Vega

 

« La sérénité, c'est l'absence de doute. »

Jean-Michel Wy

 

« La violence est une absence d'amour. »

Bernard Giraudeau

 

« Le dernier degré du bonheur est l'absence de tout mal. »

Epicure

 

« Il faut compenser l'absence par le souvenir. La mémoire est le miroir où nous regardons les absents. »

Joseph Joubert

 

vendredi 11 novembre 2011

Pacte 2012 pour la Justice - Face à la JUSTICE, ceci est un APPEL de Joël Censier, un papa en détresse !...

Ceci est un appel de Joël Censier, un papa en détresse, face à la JUSTICE !... 
Alors vous qui, peut-être (?) par hasard passerez par ici, 
SVP, faites comme moi : Signez cette pétition !  
Ceci à la mémoire de Jérémy, pour Joël et Corinne (ses parents), pour son frère et sa soeur, pour la famille et les amis.

D´avance MERCI !

Bien vous

laurence

***

Site  Association de soutien à la famille de Jérémy Censier

***
Témoignage

Un homme qui a trente ans de police derrière lui se révolte contre la Justice

 


http://pacte2012.fr/video.html

 

 

 
Madame, Monsieur,

Je m'appelle Joël Censier, j'ai 52 ans et trente ans de police derrière moi.

En vous envoyant cette vidéo, j'ai conscience de commettre un acte grave.

Mais c'est une question de conscience.


Un de mes enfants, Jeremy, a été tué par un groupe de jeunes, alors qu'il rentrait à la maison. Ces jeunes, pour certains « bien connus des services de police », se sont déchaînés sur Jeremy, simplement parce qu'il était « fils de flic ». A dix contre un, ils l'ont tué avec une « barbarie inimaginable », selon les témoins et les médecins légistes.

Vous en avez sans doute entendu parler à la télévision, ou dans les journaux. C'était à Nay, une ville du Sud-Ouest, le 22 août 2009.

Pour Corinne, mon épouse, et pour moi, la vie s'est arrêtée ce jour-là. Nos nuits et nos jours ne sont plus qu'une succession de cauchemars insupportables. Jusqu'à la fin de nos jours, nous pleurerons cet enfant que rien ni personne ne pourra nous rendre.

Mais cette vidéo n'a PAS pour but de vous raconter notre histoire, et encore moins de vous demander de nous plaindre.

Ce n'est pas parce que notre enfant est mort que nous avons décidé de lancer cet appel. Si je vous parle aujourd'hui, c'est à cause de ce qu'il s'est passé après. Car cela concerne tous les citoyens qui, un jour peut-être, auront affaire comme nous à la Justice. Et nous ne voulons pas que d'autres connaissent ce que nous avons connu.

Nous ne voulons pas que d'autres traversent les terribles épreuves que nous avons vécues après la mort de notre fils.

Comme beaucoup de victimes, nous avons cru que la Justice allait nous défendre. Qu'elle allait tout faire pour poursuivre les assassins. Ou qu'elle allait, au minimum, essayer de les empêcher de recommencer. Mais non, ce fut TOUT LE CONTRAIRE.

Dès les premières heures de la procédure, la Justice s'est rangée du côté des assassins. D'abord, le juge chargé de l'enquête a déclaré que, comme ils étaient dix, on ne pouvait pas savoir avec certitude qui avait donné les coups qui ont tué notre enfant.

Il a donc immédiatement libéré sept des voyous, ne gardant que les trois plus dangereux.

Peu de temps après, sur les trois, ils en ont relâché deux, sans raison.

Toute poursuite pour meurtre a été abandonnée contre eux. Les magistrats ont déclaré qu'ils ne retiendraient que le délit de « violences volontaires ayant entraîné une interruption de travail supérieure à huit jours ».

Oui, vous avez bien lu : une « interruption de travail supérieure à huit jours ». Un des délits les moins graves du code pénal. Alors que notre fils est mort !

Mais le pire était à venir.

Le 16 septembre dernier, c'est-à-dire il y a un mois, la Justice a décidé de relâcher pour « vice de forme » le dernier qu'elle détenait encore. Cet individu est pourtant le danger public qui a avoué être l'auteur de multiples coups de couteau sur notre fils : un coup qui a transpercé son cœur, un coup qui a traversé sa boîte crânienne, et d'autres encore qui l'ont défiguré.

Mais la Justice l'a libéré pour « vice de forme » !

Et quel « vice de forme » ? Ses avocats ont demandé une « mise en état du dossier de leur client, le 25 octobre 2010 ». Il s'agit d'une formalité purement juridique, sans aucune conséquence pratique sur la culpabilité de l'accusé.

La chambre d'instruction avait trois mois pour leur répondre. Mais elle a dépassé ce délai. Alors les avocats ont exigé la libération du jeune. Et la Cour de Cassation leur a donné raison. Il a donc été immédiatement libéré.

« Cette décision de remise en liberté pour non-respect des délais est une première en France dans l'application du texte concerné. C'est un immense soulagement », a déclaré l'avocat du tueur, Maître Sagardoytho.

« Un immense soulagement » ; « une première en France ».

Pour Corinne et pour moi, ces mots victorieux sont insupportables. Nous avons pensé à tous les autres parents qui, désormais, risquent de voir eux aussi les assassins de leur enfant libérés pour ce « vice de forme ».

Alors nous avons décidé de lancer cet appel à toute la population pour protester auprès des autorités afin que cette affreuse injustice ne touche pas d'autres familles. Pour nous, c'est trop tard, la Justice ne reviendra pas en arrière.

Mais si vous ne faites rien, le monde judiciaire et les hommes politiques considéreront que ce fonctionnement là de la Justice est accepté par l'opinion publique. Et le même scénario frappera d'autres familles.

Il faut savoir que le jour de la reconstitution, toute la bande est arrivée le sourire aux lèvres, les mains dans les poches. Ils se sont amusés à raconter et re-raconter le meurtre, en changeant de version à chaque fois, pour se moquer de gendarmes, ou de nous. Ils étaient parfaitement décontractés et désinvoltes. Ils savaient qu'ils n'avaient rien à craindre. De mon côté, je pleurais de douleur. J'ai commencé à comprendre que la Justice était en train de nous lâcher.

Sur le pont, à l'endroit de la reconstitution, un gendarme s'est approché de moi. Ce n'était pas pour me dire un mot de sympathie.

Non. Il m'a présenté une convocation à la Gendarmerie. Une plainte avait été déposée contre moi pour « subornation de témoin », et je devais être entendu par les gendarmes. Je me suis retrouvé sur le banc des accusés parce que j'avais demandé à un témoin du meurtre de se manifester auprès des autorités. On m'a expliqué que ce n'était pas à moi de le faire, je devais « laisser la Justice faire son travail »...

J'ai même risqué des poursuites pénales car j'avais parlé d'un des meurtriers de mon fils en disant que c'était un « enfoiré ». Son avocat me menaçait d'un procès en « diffamation ».
C'est alors que mon épouse et moi avons décidé de ne plus nous laisser faire. Au lieu d'attendre passivement le procès, nous avons décidé de rejoindre l'Institut pour la Justice.

L'Institut pour la Justice est un organisme indépendant qui regroupe des juristes, des victimes et des citoyens, qui œuvrent pour réformer la Justice française. Cet Institut a élaboré un Pacte 2012, qui sera présenté à tous les candidats à l'élection présidentielle, pour demander des réformes urgentes du système judiciaire.

Vous pouvez contribuer aujourd'hui à faire passer ces réformes, et à sauver des victimes futures, en signant le Pacte 2012 pour la Justice, en cliquant sur le bouton ci-dessous. Car si nous sommes des centaines de milliers de citoyens à soutenir ces propositions de réforme, les candidats seront obligés de nous écouter ; c'est une question de poids électoral. Mais c'est aussi une question de conscience et de justice.

Lorsqu'on n'y est pas personnellement confronté, on pense souvent que la Justice fait bien son travail. On n'ose pas demander qu'elle soit plus rigoureuse envers les délinquants et les criminels, de peur d'être accusé de manquer d'humanité.

Mais je peux vous dire, après trente ans d'expérience dans la Police, que vous n'avez pas à craindre cela. Il est rarissime qu'un vrai délinquant soit traité trop sévèrement en France. La plupart des délinquants bénéficient même d'une impunité à peine croyable.

On entend souvent parler de "violation des Droits de l'homme" dans nos prisons. Mais savez- vous pourquoi 225 détenus, dans une prison de Lyon, viennent de lancer une pétition pour dénoncer « des conditions de détention inacceptables » ? Ces conditions « inacceptables » c'est qu'il leur est interdit d'utiliser... la Playstation 3 dans leur cellule !!

Il n'est pas rare que la Justice relâche un délinquant arrêté des dizaines, voire des centaines de fois par la Police. Le Préfet de Police de Paris, lui-même, en a témoigné dans la presse, le 8 septembre dernier.

Il a cité le cas d'un homme qui venait d'être arrêté pour la 97eme fois. Peut-on imaginer pire mépris pour les victimes ?

Des dizaines de milliers de personnes âgées sont cambriolées chez elles chaque année, sans qu'on ne se donne même plus la peine de rechercher les coupables, parce qu'on sait qu'ils seront de toute façon relâchés par la Justice.

Des femmes se font violer, ou disparaissent, et on laisse leurs agresseurs libres de recommencer sous des prétextes dérisoires.

Aujourd'hui, il est grand temps que les candidats aux élections s'en aperçoivent.

Mais si nous voulons être sûrs qu'ils se prononcent officiellement, alors il est indispensable que nous soyons des centaines de milliers à signer le Pacte 2012 de l'Institut pour la Justice. J'espère que vous allez le signer et transmettre cette vidéo à tout votre entourage.

Il ne s'agit pas de mesures « répressives », et encore moins de réclamer un retour en arrière. Il s'agit simplement de recentrer la Justice sur sa mission première de protection des citoyens. Instaurer un fonctionnement normal, moderne et juste de l'institution judiciaire, adapté à la réalité d'aujourd'hui, dans lequel les citoyens puissent avoir confiance.

Nous demandons:

- que les peines de prison soient vraiment appliquées quand elles sont prononcées ; il faut savoir en effet qu'actuellement, 80 000 peines de prison restent non exécutées, faute de place.

- que les victimes aient au moins autant de droits que les accusés, car aujourd’hui la triste réalité est que les délinquants ont souvent plus de droits et de considération que les victimes ;

- qu’aucune atteinte aux personnes et aux biens ne reste impunie, car les plaintes classées sans suite sont une invitation à la récidive;

- que les lois nous protègent vraiment des criminels récidivistes ; aujourd’hui, la perpétuité dure 20 ans en moyenne. Même les prédateurs les plus dangereux ont vocation à sortir de prison ;

- que la justice et les magistrats soient responsables devant les citoyens, parce que leurs décisions sont prises au nom du peuple français ;

La mise en œuvre de ce Pacte serait un changement considérable pour la protection des citoyens et des victimes.

Mais même si ces mesures peuvent vous paraître évidentes, elles n'ont aucune chance d'être reprises par les candidats à la présidentielle et votées dès 2012 si des centaines de milliers de citoyens ne se manifestent pas pour les demander maintenant.

C'est pourquoi je vous demande de cliquer sur le bouton ci-dessous pour signer votre Pacte 2012, puis de transférer ce message à vos amis, votre famille, vos collègues.

De notre côté, nous mobilisons d'importants moyens humains et financiers pour :

- rassembler des dizaines, des centaines de milliers de signatures ;

- préparer des dossiers précis, justifiant le coût et la faisabilité de chacune de nos réformes, avec des avocats et des juristes spécialisés ;

- mobiliser la presse, pour que cette action soit médiatisée le plus largement possible ;

- organiser des rencontres officielles avec chaque candidat, pour obtenir leur engagement à mettre en œuvre nos réformes, en cas d'élection.

Mais quoi que nous fassions, nous ne serons entendus que si des milliers de citoyens comme vous exprimez votre soutien. C'est une question de légitimité.

C'est pourquoi votre signature est cruciale aujourd'hui.

Au nom de mon enfant, de ma famille, et de mon pays, je vous dis merci.

Joël Censier

***