L´un part et l´autre reste




Ont-ils oublié leurs promesses,
Au moindre rire, au moindre geste ?
Les grands amours n'ont plus d'adresse,
Quand l'un s'en va et l'autre reste.
N'est-il péché que de jeunesse ?
N'est-il passé que rien ne laisse ?
Les grands amours sont en détresse,
Lorsque l'un part et l'autre reste.
Reste chez toi.
Vieillis sans moi.
Ne m'appelle plus.
Efface-moi.
Déchire mes lettres.
Et reste là.
Demain peut-être,
Tu reviendras.
Geste d'amour et de tendresse,
Tels deux oiseaux en mal d'ivresse.
Les grands amours n'ont plus d'adresse,
Quand l'un s'en va et l'autre reste.
Sont-ils chagrins dès qu'ils vous blessent ?
Au lendemain de maladresses,
Les grands amours sont en détresse,
Lorsque l'un part, et l'autre reste.
De tristes adieux.
Que d'illusions !
Si c'est un jeu,
Ce sera non !
Rends-moi mes lettres.
Et reste là.
Demain peut-être.
Tu comprendras.
De tristes adieux.
Que d'illusions !
Si c'est un jeu,
Ce sera : Non !
Rends-moi mes lettres.
Et reste là.
Demain peut-être.
Tu comprendras.
Au moindre rire, au moindre geste ?
Les grands amours n'ont plus d'adresse,
Quand l'un s'en va et l'autre reste.
N'est-il péché que de jeunesse ?
N'est-il passé que rien ne laisse ?
Les grands amours sont en détresse,
Lorsque l'un part et l'autre reste.
Reste chez toi.
Vieillis sans moi.
Ne m'appelle plus.
Efface-moi.
Déchire mes lettres.
Et reste là.
Demain peut-être,
Tu reviendras.
Geste d'amour et de tendresse,
Tels deux oiseaux en mal d'ivresse.
Les grands amours n'ont plus d'adresse,
Quand l'un s'en va et l'autre reste.
Sont-ils chagrins dès qu'ils vous blessent ?
Au lendemain de maladresses,
Les grands amours sont en détresse,
Lorsque l'un part, et l'autre reste.
De tristes adieux.
Que d'illusions !
Si c'est un jeu,
Ce sera non !
Rends-moi mes lettres.
Et reste là.
Demain peut-être.
Tu comprendras.
De tristes adieux.
Que d'illusions !
Si c'est un jeu,
Ce sera : Non !
Rends-moi mes lettres.
Et reste là.
Demain peut-être.
Tu comprendras.